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Venez nous dire quels sont les 33 ou 45 tours que vous possédez.

[ImpératriceNombre de messages : 3907Date d'inscription : 30/01/2007 Age : 39]

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Le phénomène est un riddim particularité de dancehall. Un riddim (Patwa pour le rythme) est essentiellement le même comme un "beat" dans le Hip Hop, ou une version instrumentale d'une chanson. Dans la musique occidentale, en mettant votre propre voix et les paroles sur une autre mélodie artistes est généralement considérée comme mauvaise forme et pourrait facilement terre vous un procès. Dans la musique jamaïcaine, un producteur va faire un riddim et un tas d'artistes enregistrent leurs paroles sur le riddim mêmes. Un album de compilation d'un riddim sera normalement publié, contenant les différentes versions ainsi que le riddim original sans paroles.

Cette couverture est idiote extrait de l'album de compilation pour le riddim Duck Dance. Il ne semble pas aussi bête que sa couverture suggèrent. Si vous souhaitez vérifier certains riddims outrageusement stupide, je peux recommander Benny Hill-riddim et Square dance-riddim, ils sont f ** ked up.

Revenant à la danse de canard, il a été publié en 1988 par le légendaire producteur King Jammy. Quand il s'agit de riddims dancehall et, Jammy est particulièrement important car il était le producteur qui a créé le révolutionnaire Sleng Teng-riddim en 1985 conjointement avec le chanteur Wayne Smith. Smith chanter «Sous moi Sleng Teng" sur ce riddim a été un énorme succès et est considéré comme le début de dancehall électronique.
" par Lars Hasvoll Bakke "

The riddim phenomenon is a peculiar feature of dancehall. A riddim (patwa for rythm) is in essence the same as a "beat" in Hip Hop, or an instrumental version of a song. In western music, putting your own voice and lyrics on top of another artists melody is usually considered bad form and could easily land you a lawsuit. In Jamaican music, a producer will make a riddim and have a bunch of artists record their lyrics on the same riddim. A one-riddim compilation album will typically be released, containing the various versions as well as the original riddim without any lyrics.

This silly cover is taken from the compilation album for the Duck Dance riddim. It doesn't sound as silly as its cover suggest. If you'd like to check out some outrageously stupid riddims, I can recommend Benny Hill-riddim and Square dance-riddim, they're f**ked up.

Returning to Duck Dance, it was released in 1988 by legendary producer King Jammy. When it comes to dancehall and riddims, Jammy is particularly prominent since he was the producer who created the groundbreaking Sleng teng-riddim in 1985 together with singer Wayne Smith. Smith singing "Under me sleng teng" on that riddim was a massive hit and is regarded as the beginning of electronic dancehall.

" by Lars Hasvoll Bakke "

[Invité]

Le phénomène est un riddim particularité de dancehall. Un riddim (Patwa pour le rythme) est essentiellement le même comme un "beat" dans le Hip Hop, ou une version instrumentale d'une chanson. Dans la musique occidentale, en mettant votre propre voix et les paroles sur une autre mélodie artistes est généralement considérée comme mauvaise forme et pourrait facilement terre vous un procès. Dans la musique jamaïcaine, un producteur va faire un riddim et un tas d'artistes enregistrent leurs paroles sur le riddim mêmes. Un album de compilation d'un riddim sera normalement publié, contenant les différentes versions ainsi que le riddim original sans paroles.

Cette couverture est idiote extrait de l'album de compilation pour le riddim Duck Dance. Il ne semble pas aussi bête que sa couverture suggèrent. Si vous souhaitez vérifier certains riddims outrageusement stupide, je peux recommander Benny Hill-riddim et Square dance-riddim, ils sont f ** ked up.

Revenant à la danse de canard, il a été publié en 1988 par le légendaire producteur King Jammy. Quand il s'agit de riddims dancehall et, Jammy est particulièrement important car il était le producteur qui a créé le révolutionnaire Sleng Teng-riddim en 1985 conjointement avec le chanteur Wayne Smith. Smith chanter «Sous moi Sleng Teng" sur ce riddim a été un énorme succès et est considéré comme le début de dancehall électronique.
" par Lars Hasvoll Bakke "

The riddim phenomenon is a peculiar feature of dancehall. A riddim (patwa for rythm) is in essence the same as a "beat" in Hip Hop, or an instrumental version of a song. In western music, putting your own voice and lyrics on top of another artists melody is usually considered bad form and could easily land you a lawsuit. In Jamaican music, a producer will make a riddim and have a bunch of artists record their lyrics on the same riddim. A one-riddim compilation album will typically be released, containing the various versions as well as the original riddim without any lyrics.

This silly cover is taken from the compilation album for the Duck Dance riddim. It doesn't sound as silly as its cover suggest. If you'd like to check out some outrageously stupid riddims, I can recommend Benny Hill-riddim and Square dance-riddim, they're f**ked up.

Returning to Duck Dance, it was released in 1988 by legendary producer King Jammy. When it comes to dancehall and riddims, Jammy is particularly prominent since he was the producer who created the groundbreaking Sleng teng-riddim in 1985 together with singer Wayne Smith. Smith singing "Under me sleng teng" on that riddim was a massive hit and is regarded as the beginning of electronic dancehall.

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Le phénomène est un riddim particularité de dancehall. Un riddim (Patwa pour le rythme) est essentiellement le même comme un "beat" dans le Hip Hop, ou une version instrumentale d'une chanson. Dans la musique occidentale, en mettant votre propre voix et les paroles sur une autre mélodie artistes est généralement considérée comme mauvaise forme et pourrait facilement terre vous un procès. Dans la musique jamaïcaine, un producteur va faire un riddim et un tas d'artistes enregistrent leurs paroles sur le riddim mêmes. Un album de compilation d'un riddim sera normalement publié, contenant les différentes versions ainsi que le riddim original sans paroles.

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Revenant à la danse de canard, il a été publié en 1988 par le légendaire producteur King Jammy. Quand il s'agit de riddims dancehall et, Jammy est particulièrement important car il était le producteur qui a créé le révolutionnaire Sleng Teng-riddim en 1985 conjointement avec le chanteur Wayne Smith. Smith chanter «Sous moi Sleng Teng" sur ce riddim a été un énorme succès et est considéré comme le début de dancehall électronique.
" par Lars Hasvoll Bakke "

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Le phénomène est un riddim particularité de dancehall. Un riddim (Patwa pour le rythme) est essentiellement le même comme un "beat" dans le Hip Hop, ou une version instrumentale d'une chanson. Dans la musique occidentale, en mettant votre propre voix et les paroles sur une autre mélodie artistes est généralement considérée comme mauvaise forme et pourrait facilement terre vous un procès. Dans la musique jamaïcaine, un producteur va faire un riddim et un tas d'artistes enregistrent leurs paroles sur le riddim mêmes. Un album de compilation d'un riddim sera normalement publié, contenant les différentes versions ainsi que le riddim original sans paroles.

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Cette couverture est idiote extrait de l'album de compilation pour le riddim Duck Dance. Il ne semble pas aussi bête que sa couverture suggèrent. Si vous souhaitez vérifier certains riddims outrageusement stupide, je peux recommander Benny Hill-riddim et Square dance-riddim, ils sont f ** ked up.

Revenant à la danse de canard, il a été publié en 1988 par le légendaire producteur King Jammy. Quand il s'agit de riddims dancehall et, Jammy est particulièrement important car il était le producteur qui a créé le révolutionnaire Sleng Teng-riddim en 1985 conjointement avec le chanteur Wayne Smith. Smith chanter «Sous moi Sleng Teng" sur ce riddim a été un énorme succès et est considéré comme le début de dancehall électronique.
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The riddim phenomenon is a peculiar feature of dancehall. A riddim (patwa for rythm) is in essence the same as a "beat" in Hip Hop, or an instrumental version of a song. In western music, putting your own voice and lyrics on top of another artists melody is usually considered bad form and could easily land you a lawsuit. In Jamaican music, a producer will make a riddim and have a bunch of artists record their lyrics on the same riddim. A one-riddim compilation album will typically be released, containing the various versions as well as the original riddim without any lyrics.

This silly cover is taken from the compilation album for the Duck Dance riddim. It doesn't sound as silly as its cover suggest. If you'd like to check out some outrageously stupid riddims, I can recommend Benny Hill-riddim and Square dance-riddim, they're f**ked up.

Returning to Duck Dance, it was released in 1988 by legendary producer King Jammy. When it comes to dancehall and riddims, Jammy is particularly prominent since he was the producer who created the groundbreaking Sleng teng-riddim in 1985 together with singer Wayne Smith. Smith singing "Under me sleng teng" on that riddim was a massive hit and is regarded as the beginning of electronic dancehall.

" by Lars Hasvoll Bakke "

Sortie à titre posthume (Marley est décédé en 1981), cet album est surtout connu pour le "Buffalo Soldier" a frappé. Je ne suis pas un énorme fan de Bob Marley, mais cette couverture est excellente, mais un peu baroque. Il dépeint Marley dans le rôle de Saint Georges terrassant le dragon. Avec Saint-Georges étant le saint patron de l'Ethiopie, patrie spirituelle de l'Rastafari, c'est un lien évident pour obtenir les meilleurs au monde Rastaman connu.
" par Lars Hasvoll Bakke "



Released posthumously (Marley died in 1981), this album is best known for the hit "Buffalo soldier". I'm not a massive Bob Marley fan, but this cover is excellent, if slightly baroque. It depicts Marley in the role of Saint George, slaying the dragon. With Saint George being the patron saint of Ethiopia, the spiritual homeland of the Rastafari, it's an obvious connection for the world's best known Rastaman.
" by Lars Hasvoll Bakke "

[Invité]

Sortie à titre posthume (Marley est décédé en 1981), cet album est surtout connu pour le "Buffalo Soldier" a frappé. Je ne suis pas un énorme fan de Bob Marley, mais cette couverture est excellente, mais un peu baroque. Il dépeint Marley dans le rôle de Saint Georges terrassant le dragon. Avec Saint-Georges étant le saint patron de l'Ethiopie, patrie spirituelle de l'Rastafari, c'est un lien évident pour obtenir les meilleurs au monde Rastaman connu.
" par Lars Hasvoll Bakke "



Released posthumously (Marley died in 1981), this album is best known for the hit "Buffalo soldier". I'm not a massive Bob Marley fan, but this cover is excellent, if slightly baroque. It depicts Marley in the role of Saint George, slaying the dragon. With Saint George being the patron saint of Ethiopia, the spiritual homeland of the Rastafari, it's an obvious connection for the world's best known Rastaman.
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Sortie à titre posthume (Marley est décédé en 1981), cet album est surtout connu pour le "Buffalo Soldier" a frappé. Je ne suis pas un énorme fan de Bob Marley, mais cette couverture est excellente, mais un peu baroque. Il dépeint Marley dans le rôle de Saint Georges terrassant le dragon. Avec Saint-Georges étant le saint patron de l'Ethiopie, patrie spirituelle de l'Rastafari, c'est un lien évident pour obtenir les meilleurs au monde Rastaman connu.
" par Lars Hasvoll Bakke "



Released posthumously (Marley died in 1981), this album is best known for the hit "Buffalo soldier". I'm not a massive Bob Marley fan, but this cover is excellent, if slightly baroque. It depicts Marley in the role of Saint George, slaying the dragon. With Saint George being the patron saint of Ethiopia, the spiritual homeland of the Rastafari, it's an obvious connection for the world's best known Rastaman.
" by Lars Hasvoll Bakke "

Sortie à titre posthume (Marley est décédé en 1981), cet album est surtout connu pour le "Buffalo Soldier" a frappé. Je ne suis pas un énorme fan de Bob Marley, mais cette couverture est excellente, mais un peu baroque. Il dépeint Marley dans le rôle de Saint Georges terrassant le dragon. Avec Saint-Georges étant le saint patron de l'Ethiopie, patrie spirituelle de l'Rastafari, c'est un lien évident pour obtenir les meilleurs au monde Rastaman connu.
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