Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous a quitté.
Beaucoup s’en sont étonnés, mais l’émotion dans le pays – immense et durable – témoigne de l’attachement des Français à ce chanteur incomparable et à l’homme engagé qui sera resté jusqu’au bout dans la fidélité sans faille aux serments de ses premiers pas d’adulte.
Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d’un père massacré à Auschwitz, il fut en effet un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz qu’il exécrait par-dessus tout, comme il exécrait les injustices, toutes les injustices, qu’elles soient sociales ou politiques. Impressionné toute sa vie par la stature et la flamboyance d’Aragon, qui devint un ami véritable et protecteur, Jean Ferrat n’en fut pas moins un communiste de « partage » et d’indépendance. Il n’hésita jamais à revendiquer « son » communisme-à-la-française en critiquant les postures de parti ou les pro-soviétiques.
Tout en photographies accompagnées de textes courts, ce livre retrace un parcours personnel finalement peu connu du grand public et raconte la trajectoire intransigeante de cet autodidacte de la poésie, entré dans le labeur dès l’âge de 15 ans pour faire vivre sa famille.

[Invité]

Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous a quitté.
Beaucoup s’en sont étonnés, mais l’émotion dans le pays – immense et durable – témoigne de l’attachement des Français à ce chanteur incomparable et à l’homme engagé qui sera resté jusqu’au bout dans la fidélité sans faille aux serments de ses premiers pas d’adulte.
Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d’un père massacré à Auschwitz, il fut en effet un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz qu’il exécrait par-dessus tout, comme il exécrait les injustices, toutes les injustices, qu’elles soient sociales ou politiques. Impressionné toute sa vie par la stature et la flamboyance d’Aragon, qui devint un ami véritable et protecteur, Jean Ferrat n’en fut pas moins un communiste de « partage » et d’indépendance. Il n’hésita jamais à revendiquer « son » communisme-à-la-française en critiquant les postures de parti ou les pro-soviétiques.
Tout en photographies accompagnées de textes courts, ce livre retrace un parcours personnel finalement peu connu du grand public et raconte la trajectoire intransigeante de cet autodidacte de la poésie, entré dans le labeur dès l’âge de 15 ans pour faire vivre sa famille.

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Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous a quitté.
Beaucoup s’en sont étonnés, mais l’émotion dans le pays – immense et durable – témoigne de l’attachement des Français à ce chanteur incomparable et à l’homme engagé qui sera resté jusqu’au bout dans la fidélité sans faille aux serments de ses premiers pas d’adulte.
Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d’un père massacré à Auschwitz, il fut en effet un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz qu’il exécrait par-dessus tout, comme il exécrait les injustices, toutes les injustices, qu’elles soient sociales ou politiques. Impressionné toute sa vie par la stature et la flamboyance d’Aragon, qui devint un ami véritable et protecteur, Jean Ferrat n’en fut pas moins un communiste de « partage » et d’indépendance. Il n’hésita jamais à revendiquer « son » communisme-à-la-française en critiquant les postures de parti ou les pro-soviétiques.
Tout en photographies accompagnées de textes courts, ce livre retrace un parcours personnel finalement peu connu du grand public et raconte la trajectoire intransigeante de cet autodidacte de la poésie, entré dans le labeur dès l’âge de 15 ans pour faire vivre sa famille.

Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous a quitté.
Beaucoup s’en sont étonnés, mais l’émotion dans le pays – immense et durable – témoigne de l’attachement des Français à ce chanteur incomparable et à l’homme engagé qui sera resté jusqu’au bout dans la fidélité sans faille aux serments de ses premiers pas d’adulte.
Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d’un père massacré à Auschwitz, il fut en effet un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz qu’il exécrait par-dessus tout, comme il exécrait les injustices, toutes les injustices, qu’elles soient sociales ou politiques. Impressionné toute sa vie par la stature et la flamboyance d’Aragon, qui devint un ami véritable et protecteur, Jean Ferrat n’en fut pas moins un communiste de « partage » et d’indépendance. Il n’hésita jamais à revendiquer « son » communisme-à-la-française en critiquant les postures de parti ou les pro-soviétiques.
Tout en photographies accompagnées de textes courts, ce livre retrace un parcours personnel finalement peu connu du grand public et raconte la trajectoire intransigeante de cet autodidacte de la poésie, entré dans le labeur dès l’âge de 15 ans pour faire vivre sa famille.

Le 13 mars 2010, Jean Ferrat nous a quitté.
Beaucoup s’en sont étonnés, mais l’émotion dans le pays – immense et durable – témoigne de l’attachement des Français à ce chanteur incomparable et à l’homme engagé qui sera resté jusqu’au bout dans la fidélité sans faille aux serments de ses premiers pas d’adulte.
Enfant des quartiers populaires de la banlieue parisienne, fils d’un père massacré à Auschwitz, il fut en effet un homme non pas secret mais réservé, qui se tenait loin du show-biz qu’il exécrait par-dessus tout, comme il exécrait les injustices, toutes les injustices, qu’elles soient sociales ou politiques. Impressionné toute sa vie par la stature et la flamboyance d’Aragon, qui devint un ami véritable et protecteur, Jean Ferrat n’en fut pas moins un communiste de « partage » et d’indépendance. Il n’hésita jamais à revendiquer « son » communisme-à-la-française en critiquant les postures de parti ou les pro-soviétiques.
Tout en photographies accompagnées de textes courts, ce livre retrace un parcours personnel finalement peu connu du grand public et raconte la trajectoire intransigeante de cet autodidacte de la poésie, entré dans le labeur dès l’âge de 15 ans pour faire vivre sa famille.

Né en 1930 et dernier d’une famille de quatre enfants, Jean Ferrat a été fortement marqué par l’occupation allemande. Son père, juif non pratiquant, est déporté, et sa famille se heurte à la Gestapo à plusieurs reprises. Pendant un temps, le petit Jean sera même caché par des militants communistes. Ce sont sans doute ces événements qui ont contribué à forger la conscience politique de l’artiste.

À 24 ans, le jeune Jean Ferrat renonce à une carrière d’ingénieur chimiste pour se consacrer à la chanson. Il débute en mettant en musique le poème de Louis Aragon « Les yeux d’Elsa », et son admiration pour le poète ne s’éteindra jamais.

Artiste engagé, Jean Ferrat sera confronté à la censure exercée par les dirigeants des radios et des télévisions à plusieurs reprises. La liberté de ses textes en a fait un des paroliers les plus originaux de son temps. Il a tout chanté : l’amour, la politique, la vie, les femmes… et ce sont tous ces aspects de sa vie que nous invite à découvrir ce livre.

[Invité]

Né en 1930 et dernier d’une famille de quatre enfants, Jean Ferrat a été fortement marqué par l’occupation allemande. Son père, juif non pratiquant, est déporté, et sa famille se heurte à la Gestapo à plusieurs reprises. Pendant un temps, le petit Jean sera même caché par des militants communistes. Ce sont sans doute ces événements qui ont contribué à forger la conscience politique de l’artiste.

À 24 ans, le jeune Jean Ferrat renonce à une carrière d’ingénieur chimiste pour se consacrer à la chanson. Il débute en mettant en musique le poème de Louis Aragon « Les yeux d’Elsa », et son admiration pour le poète ne s’éteindra jamais.

Artiste engagé, Jean Ferrat sera confronté à la censure exercée par les dirigeants des radios et des télévisions à plusieurs reprises. La liberté de ses textes en a fait un des paroliers les plus originaux de son temps. Il a tout chanté : l’amour, la politique, la vie, les femmes… et ce sont tous ces aspects de sa vie que nous invite à découvrir ce livre.

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Né en 1930 et dernier d’une famille de quatre enfants, Jean Ferrat a été fortement marqué par l’occupation allemande. Son père, juif non pratiquant, est déporté, et sa famille se heurte à la Gestapo à plusieurs reprises. Pendant un temps, le petit Jean sera même caché par des militants communistes. Ce sont sans doute ces événements qui ont contribué à forger la conscience politique de l’artiste.

À 24 ans, le jeune Jean Ferrat renonce à une carrière d’ingénieur chimiste pour se consacrer à la chanson. Il débute en mettant en musique le poème de Louis Aragon « Les yeux d’Elsa », et son admiration pour le poète ne s’éteindra jamais.

Artiste engagé, Jean Ferrat sera confronté à la censure exercée par les dirigeants des radios et des télévisions à plusieurs reprises. La liberté de ses textes en a fait un des paroliers les plus originaux de son temps. Il a tout chanté : l’amour, la politique, la vie, les femmes… et ce sont tous ces aspects de sa vie que nous invite à découvrir ce livre.

Né en 1930 et dernier d’une famille de quatre enfants, Jean Ferrat a été fortement marqué par l’occupation allemande. Son père, juif non pratiquant, est déporté, et sa famille se heurte à la Gestapo à plusieurs reprises. Pendant un temps, le petit Jean sera même caché par des militants communistes. Ce sont sans doute ces événements qui ont contribué à forger la conscience politique de l’artiste.

À 24 ans, le jeune Jean Ferrat renonce à une carrière d’ingénieur chimiste pour se consacrer à la chanson. Il débute en mettant en musique le poème de Louis Aragon « Les yeux d’Elsa », et son admiration pour le poète ne s’éteindra jamais.

Artiste engagé, Jean Ferrat sera confronté à la censure exercée par les dirigeants des radios et des télévisions à plusieurs reprises. La liberté de ses textes en a fait un des paroliers les plus originaux de son temps. Il a tout chanté : l’amour, la politique, la vie, les femmes… et ce sont tous ces aspects de sa vie que nous invite à découvrir ce livre.

Né en 1930 et dernier d’une famille de quatre enfants, Jean Ferrat a été fortement marqué par l’occupation allemande. Son père, juif non pratiquant, est déporté, et sa famille se heurte à la Gestapo à plusieurs reprises. Pendant un temps, le petit Jean sera même caché par des militants communistes. Ce sont sans doute ces événements qui ont contribué à forger la conscience politique de l’artiste.

À 24 ans, le jeune Jean Ferrat renonce à une carrière d’ingénieur chimiste pour se consacrer à la chanson. Il débute en mettant en musique le poème de Louis Aragon « Les yeux d’Elsa », et son admiration pour le poète ne s’éteindra jamais.

Artiste engagé, Jean Ferrat sera confronté à la censure exercée par les dirigeants des radios et des télévisions à plusieurs reprises. La liberté de ses textes en a fait un des paroliers les plus originaux de son temps. Il a tout chanté : l’amour, la politique, la vie, les femmes… et ce sont tous ces aspects de sa vie que nous invite à découvrir ce livre.